1801-1802. Quand les familles Cairol Caramaing, Calvet et Cairol de Madaillan interviennent dans la succession de Jean François Vidalat. Portrait de groupe | Christine Belcikowski

À Paris, le 18 fructidor an IX (jeudi 5 septembre 1801, le corps de Jean François Vidalat, natif de Mirepoix, Ariège, est retrouvé boulevard des Capucines. Demeurant au nº 27 du boulevard Montmartre, absent de son domicile depuis le 9 fructidor (27 août), l’homme s’est suicidé la veille d’un coup de feu . Pour plus de détails sur ce drame, voir Christine Belcikowski. Publications. Jean François Vidalat, né à Mirepoix. Un électron libre des années révolutionnaires.

L’inventaire après décès montre que Jean François Vidalat était ruiné, à bout de ressources. Jean Jacques Guillaume Vidalat à Ribouisse, ci-devant prêtre, et Guillaume Vidalat à Belpech, ancien ingénieur, renoncent à se porter héritiers de leur frère et confient à un notaire parisien le soin d’être curateur de la succession.

Le Citoyen Calvet de Madaillan, demeurant ordinairement à Mirepoix, monte alors à Paris. Signalant « qu’il est créancier de Jean François Vidalat pour des sommes considérables », et qu’il représente également, au-delà des siens propres, les intérêts d’Anne Antoinette Barbe Clémence Daniel Cairol-Madaillan, de Catherine Clémence Cairol-Madaillan-Saint-Hilaire, et de A[…]e ? Cairol du lieu de Ser[re]s ?, il réclame une position de la succession.

[...]

Consulter la suite de : 1801-1802. Quand les familles Cairol Caramaing, Calvet et Cairol de Madaillan interviennent dans la succession de Jean François Vidalat. Portrait de groupe | Christine Belcikowski