Maximilien Kolbe, de Alexia Vidot | Grégoire de Tours
La préface, de cet ouvrage d’Alexia Vidot journaliste à La Vie, est de Martin Steffens agrégé de philosophie et auteur d’ouvrage sur la pensée de Simone Weill. Ce n’est pas la première biographie consacrée au père Maximilien Kolbe, ce Franciscain polonais qui s’est offert fi juillet 1941 à Auschwitz, de mourir comme otage, destiné à mourir, à la place d’un père de famille qui s’appelle Francis Galowniczek.
On aurait aimé savoir ce que ce dernier est devenu. On apprend sur internet que jusqu’à sa mort cinquate-trois ans après l’évènement, Gajowniczech est revenu à Auschwitz chaque année le 14 août pour remercier Maximilian Kolb. En appelant à la logique nazie, Maximilien Kolbe a dit à peu près ceci (d’après Francis Galowniczek) : «Je suis vieux et pas bon pour un travail aussi dur, et il est un jeune homme ». Ceci est proche de qui est écrit dans l’ouvrage, l’auteure y ajoutant l’affirmation qu’aurait faite Maximilien Kolbe de son état de prêtre catholique.
[...]
Consulter la suite de : Maximilien Kolbe, de Alexia Vidot | Grégoire de Tours
Auteur :
Moissonneur-euse : Rémy Besson
Aire(s) géographique(s) : Europe occidentale
Période(s) : 20e siècle (1914-2001)
Thématique(s) : Génocide, Guerre, Religions
Type(s) de média : Textes
Avertissement : La sélection dans la base de données est liée au fait que la publication en question est une autopublication en ligne qui porte sur le passé, elle ne correspond aucunement à une approbation scientifique de la part de l'équipe du projet.