Confrontation d’un assassin avec sa victime à la morgue : quand la foule curieuse assiste à un interrogatoire
Les parisiens venaient à la morgue comme au théâtre. Pour se rassurer quand ils n’avaient plus de nouvelles d’un proche, mais aussi pour assouvir leur soif de curiosité.
L’histoire que nous vous racontons aujourd’hui se passe en avril 1880.
A la suite du curage d’une fosse d’aisance, on trouva des « débris humains » comme le rapporte le Petit Journal du 20 avril 1880. Dans cette affaire criminelle, le responsable est identifié : Louis Monesclou.
Au milieu de la nuit, ces restes humains ont été transférés à la morgue.