« Quand tu me liras, je ne serai plus » | Acrobates japonais en France

Les lignes qui suivent n’ont rien à voir avec le Japon ou les artistes de cirque. J’espère que mes lecteurs et lectrices habituels m’en excuseront, mais il est parfois sain de réaliser comme mon sujet d’études est marginal dans la société de son temps. Je lis pour l’instant avec beaucoup de plaisir le livre stimulant de Jacques-Olivier Boudon, Le plancher […]

Continuer la lecture »

Sur les pas de… Stendhal à Bordeaux | Bordographe

Auteur à la réputation confidentielle de son vivant, Stendhal (1783-1842), de son vrai nom Henri Beyle, est passé à la postérité en tant que romancier. Or les écrits de voyages, qui représentent le quart de sa production, étaient connus de ses contemporains — dont Goethe. Subjugué dans sa jeunesse par les merveilles de l’Italie, sa seconde patrie, le natif de […]

Continuer la lecture »

En 1824, Notre Dame de Limoux. Un poème d’Alexandre Guiraud | Christine Belcikowski

Notre Dame de Limoux Au pied des hautes Pyrénées, Où l’Aude se promène en un vallon riant, Limoux, où je naquis, s’élève verdoyant Sur des plaines, au loin, de pampres couronnées. Sur un coteau voisin, à la mère de Dieu Un Ermite, aux vieux temps, bâtit une chapelle : Et la Vierge propice écoute, en ce beau lieu, Celui qui souffre […]

Continuer la lecture »

En 1831. Troisième retour de Frédéric Soulié en Ariège. « Je fus appelé par quelques affaires de famille dans le Midi de la France » | Christine Belcikowski

En septembre 1831, Frédéric Soulié retourne en Ariège pour la troisième et dernière fois. Frédéric Soulié évoque longuement ce séjour ariégeois de 1831 dans Deux séjours. Province, Paris. Il y révèle, sous le couvert d’un ton léger, nombre de secrets de son cœur. Après avoir voyagé en dormeuse de Paris à Toulouse – « nous avions parcouru en soixante-six heures, du […]

Continuer la lecture »

Les enfances ariégeoises de Frédéric Soulié | Christine Belcikowski

Dans les derniers jours de l’année 1800, à Mirepoix, le retour de Jeanne Marie Baillé avec ses deux enfants, Antoinette, un an, et Melchior Frédéric, quelques jours à peine, coïncide avec un deuil terrible. Marie Anne Adélaïde de Olin, épouse de Vincent Maurice Baillé, l’un des frères de Jeanne Marie Baillé, meurt le 15 janvier 1801, laissant derrière elle trois […]

Continuer la lecture »